Roman noir
Related: le roman frénétique - noir - novel - hardboiled crime fiction
The roots of European exploitation culture can easily be traced to the gothic novel. My thesis is that the gothic sensibility can be traced in most European literatures and that every European country had its own terminology to denote the the sensibility of the gothic novel. In France it was called the roman noir ("black novel", now primarily used to denote the hardboiled detective genre) and in Germany it was called the Schauerroman ("shudder novel"). Italy and Spain must have had their own, but I am unaware of their names as of yet. In nineteenth century France there also flourished a literature of horror on a par with the English Gothic novel or the German Schauerroman. It was christened 'le roman frénétique'. Most of the following page is dedicated to the 20th century variety of the 'roman noir'.
Parmi les fondateurs français du genre, on peut citer Eugène Sue et ses Mystères de Paris, mais Émile Zola pourrait s'en réclamer aussi, pour L'Assommoir.
French writers of the roman noir include François Guillaume Ducray-Duminil, Baculard d'Arnaud, and Madame de Genlis.
Definition (as hardboiled detective genre)
Le roman noir est un roman souvent (mais pas forcément) policier, qui propose une vue pessimiste sur un univers où des personnages se débattent avec les moyens qu'ils possèdent contre la misère, la pauvreté, le désespoir, l'injustice, ou tout simplement contre le monde qu'ils ne supportent pas.
Le genre est né aux États-Unis vers 1930, dans un contexte de crise sociale et économique. Le détective est souvent un « privé », en proie lui aussi à des problèmes d'argent. Il affronte au quotidien des endroits mal famés et les truands ; il se heurte souvent à l'hostilité de la police officielle. Ce type de détective a été immortalisé par le personnage de Sam Spade Dashiell Hammet ou encore de Philip Marlowe Raymond Chandler. Aujourd'hui (2005)des auteurs comme Cormac McCarthy peuvent être rattachés au genre. Au cinéma, des réalisateurs comme John Huston, Robert Montgomery et Howard Hawks ont contribué à populariser le genre du film noir.
Parmi les fondateurs français du genre, on peut citer Eugène Sue et ses Mystères de Paris, mais Émile Zola pourrait s'en réclamer aussi, pour L'Assommoir.
À l'exemple des Américains tels que Horace Mac Coy, qui avait écrit On achève bien les chevaux et Adieu la vie adieu l'amour (version française 1949), ou James Cain (Le facteur sonne toujours deux fois), la Série noire, créée par Marcel Duhamel, rend le genre populaire en France. En août 1944, quelques jours avant la libération de Paris, Maurice Duhamel découvre trois livres ; deux sont de Peter Cheney et le troisième de James Hadley Chase. Il en confie la traduction à Gallimard, avec l'idée d'une collection et Jacques Prévert en trouve le titre. La série commence (1945) et connaît immédiatement le succès.
Jean Amila y publie une vingtaine de romans. On doit aussi mentionner Léo Malet pour sa Trilogie noire. Les titres résument assez bien l'essentiel du roman noir : La vie est dégueulasse (1948), Le soleil n'est pas pour nous (1949), Sueur aux tripes (1969). Philippe Porée-Kurrer, avec sa Quête de Nathan Barker (1994) a sans doute ouvert des portes nouvelles portes au genre. --http://fr.wikipedia.org/wiki/Roman_noir [Apr 2005]
Noir fiction and high modernism
René Dietrich connects noir and modernism at Crimeculture.com and invokes Lee Horsley:
The noir genre, both in its cinematic and in its literary form, has often been discussed in connection with modernism. Horsley examines noir as a popular modernism sharing the thematic concerns, such as anxiety and alienation, with high modernism, but lacking the latter’s display of “formal complexity and […] aesthetic self-consciousness” (Horsley 3). Similarly, James Naremore, in More than Night: Film Noir in Its Contexts, understands noir as a marriage between “Modernism and Blood Melodrama” (40). And in his analysis of pre- and post-war crime fiction from 1995, Pulp Culture, Woody Haut argues that the context of mass production and popular culture associated with literary and cinematic noir, “indicates a class-based separation” from high modernism including both the writers and the audience” (3). Situated between high modernism and popular culture, noir claims a specific position for itself. Lee Horsley maintains that in opposition to other manifestations of popular culture, noir lacks their affirmative view and “optimistic thrust” and instead pessimistically expresses the discontents and ambivalences of modernity (Horsley 3). The typical noir protagonist finds himself vulnerable and unstable in a society based on nothing but false appearances and in a universe governed by random brutality. An example of this precarious condition of modern existence is described in Dashiell Hammett’s famous Flitcraft-story (The Maltese Falcon, Ch. 7, 442-45) the “best-known parable of ordinary life disrupted” in noir fiction (Horsley 16). --http://www.crimeculture.com/Contents/Articles-Summer05/ReneDietrich.html [Jul 2006]See also: Lee Horsley - noir - high modernism
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